Je cueille dans tes yeux Les diamants silencieux De nos fêtes subtiles. Le concerto fébrile De nos corps enlacés Dénoue ton cœur blessé. Armée de ma tendresse, Je t'étreins pour que cesse Ton chagrin sibyllin. Ton sourire câlin Ouvre une voie solaire Où je me régénère. Dans nos nuits sans sommeil Jaillit un flot vermeil De caresses brûlantes. Nos voluptés inventent Le langage royal De notre accord total. Le 03.09.2004 |